Le bilan comptable d'une entreprise est un document de synthèse est établi au minimum chaque fin d'année, dans la joie ou la tristesse selon la situation des comptes.
Il donne un aperçu du patrimoine de l'entreprise et de sa structure financière. Il doit permettre notamment de juger si cette structure est "équilibrée" (non pas selon des canons esthétiques, mais essentiellement sur le plan de la solvabilité, nous y reviendrons) ou bancale. Le bilan est une armoire à deux portes bourrée d'étagères, une liste chiffrée présentée en deux parties:
Les actifs du bilan correspondent aux avoirs que possède l'entreprise. Ils sont de deux natures : les actifs immobilisés (ou immobilisations) et les actifs circulants.
Les passifs est ce que l'entreprise doit (une ressource à employer pour l'entreprise).
Le passif est un élément du patrimoine ayant une valeur économique négative pour l’entreprise, c'est-à-dire une obligation de l'entité à l'égard d'un tiers dont il est probable ou certain qu'elle provoquera une sortie de ressources au bénéfice de ce tiers, sans contrepartie au moins équivalente attendue de celui-ci (article 212.1 du PCG).
L’actif immobilisé
Ce sont des biens durables (réutilisables) dont l’entreprise est propriétaire et qui sont nécessaires à l’exercice de son activité (comptes de la classe 2).
_ Les immobilisations incorporelles (ayant pas de corps certain) : brevets, marques, fonds commercial...
_ Les immobilisations corporelles (ayant une consistance matérielle) : terrains, constructions, matériels et outillages industriels, matériel de transport, mobilier, matériel de bureau et informatique...
_ Les immobilisations financières (certaines créances et certains titres) : prêts, caution, titres qui ont vocation à être conservés durablement au sein de l’entreprise (titres de participation et titres immobilisés).
Certains de ces biens subissent chaque année une perte de valeur irréversible : Amortissement (construction, matériel de transport...). D’autres subissent une perte de valeur non irréversible ou d’un montant incertain : Provision pour dépréciation (terrains, titres...).
Dans les 2 cas, ces pertes de valeur diminuent la valeur de bilan patrimonial de l’entreprise.
Valeur patrimoniale = Valeur nette = Valeur d’achat - amortissement ou provision pour dépréciation.
Les Capitaux propres
Les capitaux propres sont en partie hauts du passif du bilan. Ils constituent des ressources stables de l'entreprise et déterminent comptablement ce que vaut l'entreprise.
Les capitaux propres sont constitués des ressources apportées par les associés ou les actionnaires (capital social) et des profits générés par l'entreprise à l'occasion de son activité (réserves et résultat).
Les réserves regroupent les bénéfices des années antérieures qui n'ont pas été distribués aux associés ou actionnaires pour être réinvestis dans l'entreprise.
Le report à nouveau est un cumul des bénéfices des années antérieures non distribués et non affectés en réserves. Que le résultat de l'exercice soit bénéficiaire (bénéfice) ou déficitaire (perte), il sera porté au passif du bilan dans les capitaux propres.
Les Dettes
Le bilan scinde les dettes en deux catégories :
- les dettes financières sont obtenues auprès du marché obligataire ou des établissements de crédit
- les dettes issues de l'exploitation de l'entreprise, représentant ses engagements envers les fournisseurs (après obtention de délais de paiement), le personnel, le fisc, les organismes sociaux, …
Une analyse financière des dettes permet de les observer selon leur degré d'exigibilité et par conséquent de distinguer les dettes à long et moyen terme (plus d'un an) et les dettes à court terme. Un état annexe du bilan " Etat des dettes " détaille les dettes de l'entreprise selon leur durée.
Les dettes à long et moyen terme se rapprochent des capitaux propres de l'entreprise et constituent les capitaux permanents.
Les dettes à court terme forment les ressources à court terme destinées à financer les emplois à court terme (éléments d'actifs à moins d'un an).
mercredi 31 mars 2010
samedi 27 mars 2010
la crise de 1929
Le krach de 1929 est une crise boursière qui se déroula à la Bourse de New York entre le jeudi 24 octobre et le mardi 29 octobre 1929. Cet événement marque le début de la Grande dépression, la plus grande crise économique du XXe siècle. Les jours-clés du krach ont hérité de surnoms distincts : le 24 octobre est appelé jeudi noir, le 28 octobre est le lundi noir, et le 29 octobre est le mardi noir.
Les causes de la crise
- Une spéculation* boursière excessive : tout le monde cherche à faire du profit en achetant (souvent à crédit) et en vendant des actions.
Schéma au tableau : actions - bourse - spéculation
- Cette folle activité boursière cache une crise de la production : on produit trop par rapport à ce que les américains peuvent consommer.
La demande ne suit plus l’offre.
- En conséquence il y a de plus en plus d’actionnaires qui veulent vendre au plus vite.
Le 24 octobre 1929 c’est le krach boursier : 13 millions d’actions sont mises en vente, les cours s’effondrent.
Une crise en chaîne
- De la Bourse la crise s’étend au secteur bancaire : les actionnaires, ruinés, ne peuvent plus rembourser aux banques, ruinées aussi de ce fait.
- Face à cette crise les industries sont obligées de baisser de baisser leur production, donc de licencier son personnel en masse. En 1932 il y a 12 millions de chômeurs. Aux États-Unis, le taux de chômage augmente fortement au début des années 1930 : il atteint 9 % en 1930. Le pays compte quelque 13 millions de chômeurs en 1932. En 1933, lorsque Roosevelt devient président, 24,9 % de la population active est au chômage et deux millions d’Américains sont sans-abri.
La crise s’étend au monde
- Les banques américaines rapatrient les capitaux prêtés à l’étranger, ce qui entraîne des faillites d’abord en Europe centrale et en Allemagne, puis en Angleterre et en France.
- Des deux côtés de l’Atlantique on réduit les échanges commerciaux.
- Le Brésil ne peut plus vendre son café et le Japon doit se contenter de ses propres ressources (insuffisantes).
- Seule l’U.R.S.S., isolée depuis la fin de la N.E.P. en 1928, est épargnée.
La crise de 29 devient pour Staline et les communistes une preuve de l’échec du capitalisme.
Les causes de la crise
- Une spéculation* boursière excessive : tout le monde cherche à faire du profit en achetant (souvent à crédit) et en vendant des actions.
Schéma au tableau : actions - bourse - spéculation
- Cette folle activité boursière cache une crise de la production : on produit trop par rapport à ce que les américains peuvent consommer.
La demande ne suit plus l’offre.
- En conséquence il y a de plus en plus d’actionnaires qui veulent vendre au plus vite.
Le 24 octobre 1929 c’est le krach boursier : 13 millions d’actions sont mises en vente, les cours s’effondrent.
Une crise en chaîne
- De la Bourse la crise s’étend au secteur bancaire : les actionnaires, ruinés, ne peuvent plus rembourser aux banques, ruinées aussi de ce fait.
- Face à cette crise les industries sont obligées de baisser de baisser leur production, donc de licencier son personnel en masse. En 1932 il y a 12 millions de chômeurs. Aux États-Unis, le taux de chômage augmente fortement au début des années 1930 : il atteint 9 % en 1930. Le pays compte quelque 13 millions de chômeurs en 1932. En 1933, lorsque Roosevelt devient président, 24,9 % de la population active est au chômage et deux millions d’Américains sont sans-abri.
La crise s’étend au monde
- Les banques américaines rapatrient les capitaux prêtés à l’étranger, ce qui entraîne des faillites d’abord en Europe centrale et en Allemagne, puis en Angleterre et en France.
- Des deux côtés de l’Atlantique on réduit les échanges commerciaux.
- Le Brésil ne peut plus vendre son café et le Japon doit se contenter de ses propres ressources (insuffisantes).
- Seule l’U.R.S.S., isolée depuis la fin de la N.E.P. en 1928, est épargnée.
La crise de 29 devient pour Staline et les communistes une preuve de l’échec du capitalisme.
Libellés :
crise boursière,
crise1929,
jeudi noir,
la Bourse
mercredi 24 mars 2010
La Rentabilité
La notion de rentabilité peut s'exprimer par le rapport résultat sur moyen.
L'entreprise engage pour son exploitation un certain investissement initial et elle comptabilise chaque année un certain nombre de dépenses et un certain nombre de recettes ; recettes qui proviennent de la vente de ses produits et dépenses qui proviennent de tous les frais qu'elle a engagés pour produire, pour faire fonctionner soit son équipement, le maintenir en état, et pour vendre sa fabrication ou ses produits.
La rentabilité de l'entreprise sera le taux d'intérêt qui rend égaux, d'une part, le total de bénéfices annuels actualisés à la date de l'investissement initial et, d'autre part, le montant de l'investissement initial.
ELEMENTS D'APPRECIATION DE LA RENTABILITE
Les grandeurs du résultat
La valeur ajoutée
Si l'on compare ce qu'une entreprise produit (en terme monétaire) à ce qu'elle a consommé pour produire, on pose la notion de la valeur ajoutée.
La valeur ajoutée résulte de la confrontation des biens et services de l'entreprise aux exigences du marché. C'est en définitive le consommateur qui réalise la valeur ajoutée de l'entreprise, en achetant le produit aux prix auquel il lui est proposé.
La valeur ajoutée se propose de traduire le surplus de richesse créé par l'entreprise.
Si la valeur ajoutée permet bien de mesurer la part contributive de l'entreprise à la création de richesses, on peut dire que le profit de cette même entreprise sera la substance financière laissée disponible après que la valeur ajoutée aura assurée : la rémunération des salariés de l'entreprise, le prélèvement de la collectivité (impôts), le maintien de son outil actuel de production (autofinancement de maintien) et une rémunération suffisante aux capitaux investis.
Résultat net et résultat net d'exploitation
Résultat net d'exploitation
Le résultat net d'exploitation est le résultat avant l'incidence des résultats hors exploitation et des plus ou moins values constatées sur les cessions ou les mises hors services de certains éléments d'actif dont on ne peut pas considérer la réalisation comme entrant dans l'activité normale de l'agent économique.
Il est la différence entre le total des produits et le total des charges.
Résultat net
Le résultat net est le résultat net d'exploitation après l'incidence de résultats hors exploitation et plus ou moins values constatées sur les cessions d'immobilisation ou les mises hors services. Il comprend le résultat à conserver et le résultat à distribuer.
Cash-flow
Le cash-flow est un terme d'origine anglo-saxonne. Le cash-flow est la mesure globale du potentiel d'autofinancement, d'où il est traduit en français par la marge brute d'autofinancement.
Le cash-flow où marge brute d'autofinancement est le surplus monétaire secrété par l'activité déterminée par la sommation du résultat brut d'exploitation et du résultat brut hors exploitation diminué de la contribution sur le revenu.
Par définition, le cash-flow se trouve être dans la très large majorité de cas, algébriquement supérieur au résultat de l'exercice. Le cash-flow ne peut être inférieur au résultat net que dans les très rares cas où les charges non décaissées (amortissements) sont globalement négatives, c'est-à-dire que les reprises d'amortissements et de réduction de valeurs excédent les dotations. En cas de pertes, il est alors tentant pour l'entreprise d'afficher plutôt son cash-flow qui aura normalement meilleure mine que le résultat de l'exercice.
Le cash-flow représente le potentiel d'autofinancement de l'entreprise avant toute décision de distribution du bénéfice. La capacité d'autofinancement est, en effet, la meilleure synthèse de l'efficacité de l'entreprise sur chacun des marchés auxquels elle s'adresse pour vendre ou acheter.
De même que, et on peut dire parce que la rentabilité de l'entreprise est la toile de fond de tout ce qui touche aux apports de capitaux permanents par le marché, la capacité d'autofinancement est à la fois le complément nécessaire et l'une des conditions de ces apports.
Cash-flow brut
Le cash-flow brut est celui qui comprend le résultat brut d'exploitation ainsi que le résultat brut hors exploitation diminué des provisions pour dépréciation.
Cash-flow net
Le cash-flow net est le cash-flow brut diminué de contribution sur le résultat ou encore la somme du résultat net de l'exercice et des amortissements.
Les grandeurs de moyens
Actif total
L'actif total est constitué de l'ensemble de fonds investis, c'est-à-dire, le total de l'actif. Il comprend les actifs immobilisés, les actifs circulants constitués : des actifs d'exploitation, des valeurs réalisables et des valeurs disponibles.
Capitaux propres
Les capitaux propres sont constitués de l'ensemble de fonds que l'entrepreneur confie à l'entreprise pour réaliser son objet économique qui est de produire et de vendre.
Capitaux permanents (capitaux investis)
Les capitaux permanents d'une entreprise sont constitués de l'ensemble ou de l'addition des capitaux propres et des dettes à long et moyen terme contractées par l'entreprise dans le but de réaliser son objet économique.
Dans le cadre de notre étude, les indicateurs de la rentabilité ci-dessous nous permettrons dans le chapitre qui suit d'apprécier le niveau de la rentabilité des Ets OLIVE :
- Le chiffre d'affaires : qui est considéré comme un indicateur du résultat et en même temps comme élément de référence des autres indicateurs du résultat. Il est considéré aussi comme l'indice le plus caractéristique du volume d'activité d'une entreprise.
- Le cash-flow constitue un indicateur très apprécié, d'une part du potentiel bénéficiaire d'une affaire, d'autre part de sa capacité de financement. Le cash-flow apparaît comme un indicateur significatif du pouvoir de gain d'une affaire.
- Les capitaux investis qui représentent la contrepartie des biens qu'ils servent à financer.
L'entreprise engage pour son exploitation un certain investissement initial et elle comptabilise chaque année un certain nombre de dépenses et un certain nombre de recettes ; recettes qui proviennent de la vente de ses produits et dépenses qui proviennent de tous les frais qu'elle a engagés pour produire, pour faire fonctionner soit son équipement, le maintenir en état, et pour vendre sa fabrication ou ses produits.
La rentabilité de l'entreprise sera le taux d'intérêt qui rend égaux, d'une part, le total de bénéfices annuels actualisés à la date de l'investissement initial et, d'autre part, le montant de l'investissement initial.
ELEMENTS D'APPRECIATION DE LA RENTABILITE
Les grandeurs du résultat
La valeur ajoutée
Si l'on compare ce qu'une entreprise produit (en terme monétaire) à ce qu'elle a consommé pour produire, on pose la notion de la valeur ajoutée.
La valeur ajoutée résulte de la confrontation des biens et services de l'entreprise aux exigences du marché. C'est en définitive le consommateur qui réalise la valeur ajoutée de l'entreprise, en achetant le produit aux prix auquel il lui est proposé.
La valeur ajoutée se propose de traduire le surplus de richesse créé par l'entreprise.
Si la valeur ajoutée permet bien de mesurer la part contributive de l'entreprise à la création de richesses, on peut dire que le profit de cette même entreprise sera la substance financière laissée disponible après que la valeur ajoutée aura assurée : la rémunération des salariés de l'entreprise, le prélèvement de la collectivité (impôts), le maintien de son outil actuel de production (autofinancement de maintien) et une rémunération suffisante aux capitaux investis.
Résultat net et résultat net d'exploitation
Résultat net d'exploitation
Le résultat net d'exploitation est le résultat avant l'incidence des résultats hors exploitation et des plus ou moins values constatées sur les cessions ou les mises hors services de certains éléments d'actif dont on ne peut pas considérer la réalisation comme entrant dans l'activité normale de l'agent économique.
Il est la différence entre le total des produits et le total des charges.
Résultat net
Le résultat net est le résultat net d'exploitation après l'incidence de résultats hors exploitation et plus ou moins values constatées sur les cessions d'immobilisation ou les mises hors services. Il comprend le résultat à conserver et le résultat à distribuer.
Cash-flow
Le cash-flow est un terme d'origine anglo-saxonne. Le cash-flow est la mesure globale du potentiel d'autofinancement, d'où il est traduit en français par la marge brute d'autofinancement.
Le cash-flow où marge brute d'autofinancement est le surplus monétaire secrété par l'activité déterminée par la sommation du résultat brut d'exploitation et du résultat brut hors exploitation diminué de la contribution sur le revenu.
Par définition, le cash-flow se trouve être dans la très large majorité de cas, algébriquement supérieur au résultat de l'exercice. Le cash-flow ne peut être inférieur au résultat net que dans les très rares cas où les charges non décaissées (amortissements) sont globalement négatives, c'est-à-dire que les reprises d'amortissements et de réduction de valeurs excédent les dotations. En cas de pertes, il est alors tentant pour l'entreprise d'afficher plutôt son cash-flow qui aura normalement meilleure mine que le résultat de l'exercice.
Le cash-flow représente le potentiel d'autofinancement de l'entreprise avant toute décision de distribution du bénéfice. La capacité d'autofinancement est, en effet, la meilleure synthèse de l'efficacité de l'entreprise sur chacun des marchés auxquels elle s'adresse pour vendre ou acheter.
De même que, et on peut dire parce que la rentabilité de l'entreprise est la toile de fond de tout ce qui touche aux apports de capitaux permanents par le marché, la capacité d'autofinancement est à la fois le complément nécessaire et l'une des conditions de ces apports.
Cash-flow brut
Le cash-flow brut est celui qui comprend le résultat brut d'exploitation ainsi que le résultat brut hors exploitation diminué des provisions pour dépréciation.
Cash-flow net
Le cash-flow net est le cash-flow brut diminué de contribution sur le résultat ou encore la somme du résultat net de l'exercice et des amortissements.
Les grandeurs de moyens
Actif total
L'actif total est constitué de l'ensemble de fonds investis, c'est-à-dire, le total de l'actif. Il comprend les actifs immobilisés, les actifs circulants constitués : des actifs d'exploitation, des valeurs réalisables et des valeurs disponibles.
Capitaux propres
Les capitaux propres sont constitués de l'ensemble de fonds que l'entrepreneur confie à l'entreprise pour réaliser son objet économique qui est de produire et de vendre.
Capitaux permanents (capitaux investis)
Les capitaux permanents d'une entreprise sont constitués de l'ensemble ou de l'addition des capitaux propres et des dettes à long et moyen terme contractées par l'entreprise dans le but de réaliser son objet économique.
Dans le cadre de notre étude, les indicateurs de la rentabilité ci-dessous nous permettrons dans le chapitre qui suit d'apprécier le niveau de la rentabilité des Ets OLIVE :
- Le chiffre d'affaires : qui est considéré comme un indicateur du résultat et en même temps comme élément de référence des autres indicateurs du résultat. Il est considéré aussi comme l'indice le plus caractéristique du volume d'activité d'une entreprise.
- Le cash-flow constitue un indicateur très apprécié, d'une part du potentiel bénéficiaire d'une affaire, d'autre part de sa capacité de financement. Le cash-flow apparaît comme un indicateur significatif du pouvoir de gain d'une affaire.
- Les capitaux investis qui représentent la contrepartie des biens qu'ils servent à financer.
dimanche 21 mars 2010
Les banques marocaines
Les banques marocaines opérant au Maroc, se composent de banques à capitaux marocains, ou de banques filiales de banques étrangères comme :
Attijariwafa bank est un groupe bancaire et financier marocain ; il est considéré comme le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et le troisième au niveau africain. En 2003, la Banque Commerciale du Maroc absorbe Wafabank pour donner Attijariwafa bank.
Buy Dinar Currency
Buy Iraqi Dinar
La Banque populaire du Maroc est l'appellation la plus courante pour désigner l'ensemble du Groupe des Banques populaires, un groupe bancaire et financier marocain composé de onze Banques populaires régionales qui sont sous forme de sociétés coopératives, de la Banque centrale populaire qui est une société anonyme cotée à la Bourse de Casablanca et plusieurs filiales spécialisées. Les banques populaires gèrent près de 60% des actifs financiers locaux des Marocains résidents à l'étranger.
BMCE Bank est une banque commerciale marocaine filiale du groupe Finance Com,c'est la troisième banque du pays.
Fondée en 1959 en tant que banque publique, la BMCE a été la première banque marocaine à s’installer à l’étranger en ouvrant une agence à Paris en 1973. Deux ans plus tard, elle s'introduit en bourse de Casablanca
Présence dans 22 pays, 4592 collaborateurs, Près de 2 millions de comptes actifs
Réseau spécialisé de 560 agences dont 17 centres d’affaires et une agence Corporate , 532 GAB ,Plus de 150 produits et services offerts.
La Société générale Maroc (ou SG Maroc), est une banque commerciale marocaine filiale de la Société générale. Créée en 1913 sous le nom de Société générale marocaine de Banques et était souvent désigné sous l'acronyme SGMB. La banque porte aujourd'hui le nom de Société générale Maroc, pour se rapprocher plus du nom de sa maison mère, le Groupe Société générale, un des plus grands groupes bancaires de la zone euro.
Avec un réseau de 300 agences, la Société générale Maroc opère en tant que banque de détail et banque de gestion privée.
La BMCI, dont l’actionnaire de référence est le groupe BNP Paribas, exerce une activité de banque universelle, qui s’adresse à tout type de clientèle : Particuliers (y compris les Marocains Résidant à l’Etranger), Professionnels, Grandes Entreprises et Institutionnels, PME-PMI, jeunes...
Pour mieux satisfaire les besoins de ses clients, le groupe BMCI met à leur disposition, à travers son réseau de plus de 250 agences au Maroc, toute l’expertise et le savoir faire de ses 10 filiales et entités spécialisées, notamment en matière de Corporate Finance, de Gestion d’Actifs, de Transactions Boursières, de Leasing, etc...
Certifiée ISO 9001 version 2000 pour ses activités documentaires et ses virements internationaux, la BMCI occupe une position de référence dans le domaine du commerce international, grâce notamment au Casablanca BNP Paribas Trade Center.
Le Groupe Crédit Agricole du Maroc participe depuis plusieurs années au développement économique et social du pays.
Ses multiples et importantes interventions en matière de financement ont été à l’origine de l’amélioration des systèmes productifs particulièrement au niveau des secteurs agricole et agro-alimentaire, au développement de l’innovation, à l’augmentation de la production et des revenus, à la création de l’emploi et à la consolidation du tissu productif national.
Le Crédit du Maroc est une banque commerciale marocaine filiale du groupe français Crédit agricole SA. Créé en 1929, le Crédit du Maroc a parcouru depuis un long chemin. Etoffant son réseau de manière harmonieuse, développant les compétences de ses collaborateurs et les métiers, il a su répondre aux exigences de sa clientèle tant Entreprise que Particuliers et professionnels.
Le CIH (Crédit immobilier et hôtelier) est une banque marocaine filiale du groupe CDG, opérant particulièrement dans le secteur immobilier et touristique, elle assure aussi les activités d'une banque de détail. Le CIH a été créé en 1920 sous le nom de Caisse de prêts immobiliers du Maroc (CPIM). Suite à l'extension de son activité au secteur hôtelier en 1967, elle change de nom pour devenir Crédit immobilier et hôtelier
Attijariwafa bank est un groupe bancaire et financier marocain ; il est considéré comme le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et le troisième au niveau africain. En 2003, la Banque Commerciale du Maroc absorbe Wafabank pour donner Attijariwafa bank.
Buy Dinar Currency
Buy Iraqi Dinar
La Banque populaire du Maroc est l'appellation la plus courante pour désigner l'ensemble du Groupe des Banques populaires, un groupe bancaire et financier marocain composé de onze Banques populaires régionales qui sont sous forme de sociétés coopératives, de la Banque centrale populaire qui est une société anonyme cotée à la Bourse de Casablanca et plusieurs filiales spécialisées. Les banques populaires gèrent près de 60% des actifs financiers locaux des Marocains résidents à l'étranger.
BMCE Bank est une banque commerciale marocaine filiale du groupe Finance Com,c'est la troisième banque du pays.
Fondée en 1959 en tant que banque publique, la BMCE a été la première banque marocaine à s’installer à l’étranger en ouvrant une agence à Paris en 1973. Deux ans plus tard, elle s'introduit en bourse de Casablanca
Présence dans 22 pays, 4592 collaborateurs, Près de 2 millions de comptes actifs
Réseau spécialisé de 560 agences dont 17 centres d’affaires et une agence Corporate , 532 GAB ,Plus de 150 produits et services offerts.
La Société générale Maroc (ou SG Maroc), est une banque commerciale marocaine filiale de la Société générale. Créée en 1913 sous le nom de Société générale marocaine de Banques et était souvent désigné sous l'acronyme SGMB. La banque porte aujourd'hui le nom de Société générale Maroc, pour se rapprocher plus du nom de sa maison mère, le Groupe Société générale, un des plus grands groupes bancaires de la zone euro.
Avec un réseau de 300 agences, la Société générale Maroc opère en tant que banque de détail et banque de gestion privée.
La BMCI, dont l’actionnaire de référence est le groupe BNP Paribas, exerce une activité de banque universelle, qui s’adresse à tout type de clientèle : Particuliers (y compris les Marocains Résidant à l’Etranger), Professionnels, Grandes Entreprises et Institutionnels, PME-PMI, jeunes...
Pour mieux satisfaire les besoins de ses clients, le groupe BMCI met à leur disposition, à travers son réseau de plus de 250 agences au Maroc, toute l’expertise et le savoir faire de ses 10 filiales et entités spécialisées, notamment en matière de Corporate Finance, de Gestion d’Actifs, de Transactions Boursières, de Leasing, etc...
Certifiée ISO 9001 version 2000 pour ses activités documentaires et ses virements internationaux, la BMCI occupe une position de référence dans le domaine du commerce international, grâce notamment au Casablanca BNP Paribas Trade Center.
Le Groupe Crédit Agricole du Maroc participe depuis plusieurs années au développement économique et social du pays.
Ses multiples et importantes interventions en matière de financement ont été à l’origine de l’amélioration des systèmes productifs particulièrement au niveau des secteurs agricole et agro-alimentaire, au développement de l’innovation, à l’augmentation de la production et des revenus, à la création de l’emploi et à la consolidation du tissu productif national.
Le Crédit du Maroc est une banque commerciale marocaine filiale du groupe français Crédit agricole SA. Créé en 1929, le Crédit du Maroc a parcouru depuis un long chemin. Etoffant son réseau de manière harmonieuse, développant les compétences de ses collaborateurs et les métiers, il a su répondre aux exigences de sa clientèle tant Entreprise que Particuliers et professionnels.
Le CIH (Crédit immobilier et hôtelier) est une banque marocaine filiale du groupe CDG, opérant particulièrement dans le secteur immobilier et touristique, elle assure aussi les activités d'une banque de détail. Le CIH a été créé en 1920 sous le nom de Caisse de prêts immobiliers du Maroc (CPIM). Suite à l'extension de son activité au secteur hôtelier en 1967, elle change de nom pour devenir Crédit immobilier et hôtelier
jeudi 18 mars 2010
Demande, concurrence imparfaite et CI
1) La théorie de “ la demande représentative“ de LINDER :
Dès 1961, Linder soulignait l’importance du commerce de Produits comparables entre pays à développement semblable. Ce phénomène, pensait-il, contredisait totalement la théorie d’Heckscher-Ohlin, dans la mesure où, celle-ci était censée expliquer le commerce de Produits très différents entre pays très dissemblables en termes de dotation de facteurs. Les conditions d’offre des pays étant jugées identiques, Linder proposa une explication en termes de demande. Il indique alors que les conditions de production sont dépendantes de celle de la demande et que les producteurs nationaux, produisent d’abord pour leur marché national. La demande est ainsi une demande domestique représentative.
Les exportations étant considérées comme un commerce de surplus par rapport à la consommation intérieure, c’est donc cette demande représentative qui déterminera la nature des produits exportés. Le marché extérieur n’est qu’un prolongement du marché national.
Pou Linder, les pays à niveau de développement comparable ont des demandes domestiques représentatives similaires et leurs surplus exportables porteront sur les mêmes types de Produits. Chaque bien exportable est également un bien importable. La proximité des pays en termes de niveau de développement permet un échange croisé de Produits similaires.
2) Concurrence imparfaite et échange intra branche : la demande de différence :
B. Lassudrie-Duchêne prolongera la théorie de Linder en introduisant le concept de « demande de différence » :
Si les échanges croisés portent sur des produits semblables, ceux-ci ne sont pas identiques mais bénéficient d’une « qualité de différence ». La différentiation des biens permet de satisfaire une demande dite de variété ou de « demande de différence » (Lassudrie-Duchêne).
En effet pour lui, « là où tous est semblable, il est utile de rien échanger, l’échange ne peut s’expliquer que par une différence quelconque ».
La participation au CI permet ainsi d’améliorer la satisfaction des consommateurs qui peuvent choisir entre de nombreuses variétés d’un bien et permet également d’élargir le marché potentiel des entreprises.
Il y a 2 types de différenciation :
Quand la différenciation porte sur les différences de goûts (pour des revenus identiques), on parle de différenciation
_horizontale (pour un même niveau de revenu) (l Exemple a couleur d’un bien).
Quand la différenciation porte sur des différences de revenus, on parle de différenciation ----_verticale. (Exemple voiture degamme différente en termes de puissance de moteur, de confort, de robustesse, et d’équipement…)
Ainsi, bien nous rendons des services similaires, ces biens ne sont pas parfaitement identiques et se distinguent par leurs qualités, leurs formes, leurs couleurs ou leur marque. Or, la capacité de P° des firmes est limitée en termes de variété, si elles veulent bénéficier d’économies d’échelle. Des arbitrages sont donc nécessaires amenant chaque firme à se spécialiser dans la P° de certaine variété déterminé. La recherche de différenciation par des consommateurs et leurs volontés de distinction, les conduits à acheter des biens étrangers Dès lors que ceux-ci représentent des caractéristiques jugés différentes que celles offertes sur le marché domestique :
Le CI est donc le résultat de la rencontre de demande de différence et d’offre de variété qualitativement différentes portantes sur des Produits semblables. Il permet d’échanger des différences pour des biens comparables et d’enrichir ainsi la gamme des choix disponible de
variété qualitativement distinctes pour chaque type de bien comme le tourisme, ce type de commerce relève d’une demande d’exotisme.
Dès 1961, Linder soulignait l’importance du commerce de Produits comparables entre pays à développement semblable. Ce phénomène, pensait-il, contredisait totalement la théorie d’Heckscher-Ohlin, dans la mesure où, celle-ci était censée expliquer le commerce de Produits très différents entre pays très dissemblables en termes de dotation de facteurs. Les conditions d’offre des pays étant jugées identiques, Linder proposa une explication en termes de demande. Il indique alors que les conditions de production sont dépendantes de celle de la demande et que les producteurs nationaux, produisent d’abord pour leur marché national. La demande est ainsi une demande domestique représentative.
Les exportations étant considérées comme un commerce de surplus par rapport à la consommation intérieure, c’est donc cette demande représentative qui déterminera la nature des produits exportés. Le marché extérieur n’est qu’un prolongement du marché national.
Pou Linder, les pays à niveau de développement comparable ont des demandes domestiques représentatives similaires et leurs surplus exportables porteront sur les mêmes types de Produits. Chaque bien exportable est également un bien importable. La proximité des pays en termes de niveau de développement permet un échange croisé de Produits similaires.
2) Concurrence imparfaite et échange intra branche : la demande de différence :
B. Lassudrie-Duchêne prolongera la théorie de Linder en introduisant le concept de « demande de différence » :
Si les échanges croisés portent sur des produits semblables, ceux-ci ne sont pas identiques mais bénéficient d’une « qualité de différence ». La différentiation des biens permet de satisfaire une demande dite de variété ou de « demande de différence » (Lassudrie-Duchêne).
En effet pour lui, « là où tous est semblable, il est utile de rien échanger, l’échange ne peut s’expliquer que par une différence quelconque ».
La participation au CI permet ainsi d’améliorer la satisfaction des consommateurs qui peuvent choisir entre de nombreuses variétés d’un bien et permet également d’élargir le marché potentiel des entreprises.
Il y a 2 types de différenciation :
Quand la différenciation porte sur les différences de goûts (pour des revenus identiques), on parle de différenciation
_horizontale (pour un même niveau de revenu) (l Exemple a couleur d’un bien).
Quand la différenciation porte sur des différences de revenus, on parle de différenciation ----_verticale. (Exemple voiture degamme différente en termes de puissance de moteur, de confort, de robustesse, et d’équipement…)
Ainsi, bien nous rendons des services similaires, ces biens ne sont pas parfaitement identiques et se distinguent par leurs qualités, leurs formes, leurs couleurs ou leur marque. Or, la capacité de P° des firmes est limitée en termes de variété, si elles veulent bénéficier d’économies d’échelle. Des arbitrages sont donc nécessaires amenant chaque firme à se spécialiser dans la P° de certaine variété déterminé. La recherche de différenciation par des consommateurs et leurs volontés de distinction, les conduits à acheter des biens étrangers Dès lors que ceux-ci représentent des caractéristiques jugés différentes que celles offertes sur le marché domestique :
Le CI est donc le résultat de la rencontre de demande de différence et d’offre de variété qualitativement différentes portantes sur des Produits semblables. Il permet d’échanger des différences pour des biens comparables et d’enrichir ainsi la gamme des choix disponible de
variété qualitativement distinctes pour chaque type de bien comme le tourisme, ce type de commerce relève d’une demande d’exotisme.
mardi 16 mars 2010
Firmes multinationales
Une firme multinationale est une entreprise, généralement de grande taille, ayant des importations dans plusieurs pays. L’importation à l’étranger se justifie par toute une série de considérations :
_ La conquête des nouveaux marchés ;
_ La réduction du coup de production ;
_ L’accès aux matières premières.
1- Conquête des nouveaux marchés :
L’importation à l’étranger permet :
* De mieux s’adapter au marché du pays d’accueil (adaptation à la réglementation aux normes et aux goûts des consommateurs) ;
* De nouveaux débouchés aux produits fabriqués par cette entreprise ;
* De contourner les obstacles douaniers.
2- Réduction des coûts de production :
Les firmes multinationales font réaliser certaines opérations élémentaires du processus de production dans les pays où les coûts (les impôts, les charges, les salaires de la main d’œuvre) sont très faibles, ainsi les firmes multinationales sont amenées à créer des filiales-ateliers.
3- Accès aux matières premières :
Il s’agit historiquement de la première stratégie des firmes internationales. L’objectif est de disposer d’un approvisionnement sûr en matières premières, ainsi par exemple les industries des minerais et de métaux non ferreux sont elles mondialement dominées par un nombre restreint des firmes multinationales qui contrôlent l’exploitation de nombreux gisements miniers des pays en voie de développement.
_ La conquête des nouveaux marchés ;
_ La réduction du coup de production ;
_ L’accès aux matières premières.
1- Conquête des nouveaux marchés :
L’importation à l’étranger permet :
* De mieux s’adapter au marché du pays d’accueil (adaptation à la réglementation aux normes et aux goûts des consommateurs) ;
* De nouveaux débouchés aux produits fabriqués par cette entreprise ;
* De contourner les obstacles douaniers.
2- Réduction des coûts de production :
Les firmes multinationales font réaliser certaines opérations élémentaires du processus de production dans les pays où les coûts (les impôts, les charges, les salaires de la main d’œuvre) sont très faibles, ainsi les firmes multinationales sont amenées à créer des filiales-ateliers.
3- Accès aux matières premières :
Il s’agit historiquement de la première stratégie des firmes internationales. L’objectif est de disposer d’un approvisionnement sûr en matières premières, ainsi par exemple les industries des minerais et de métaux non ferreux sont elles mondialement dominées par un nombre restreint des firmes multinationales qui contrôlent l’exploitation de nombreux gisements miniers des pays en voie de développement.
dimanche 14 mars 2010
Le PIB et le Le PNB
Le PIB est la valeur monétaire des biens et services réalisés au cours de l’année civile par les résidents d’un pays.
Un résident est une personne physique ou morale qui réside régulièrement sur le territoire national quelque soit sa nationalité.
PIIB = PIIB marchand (.Valeurs ajoutées des entreprises) + Valeur ajoutée de l’’Etat (Salaires publics)
C’est par l’évolution du PIB d’une année à l’autre que l’on calcule le taux de croissance
Economique : Il s’agit d’une croissance en valeur (en terme monétaire, ou au prix courant). Elle ne nous renseigne pas sur l’évolution réelle des quantités produites. Pour déterminer la croissance en volume (en terme réel ou au prix constant) on doit retrancher des 10%, la partie qui s’explique par la hausse des prix.
Le PNB est la valeur monétaire des biens et services réalisés par les nationaux quelque soit le lieu de leur résidence. En fait le PNB est égale au PIB diminué des transferts vers l’extérieur opérés par les résidents étrangers et augmenté des transferts de l’extérieur vers le pays opérés par les nationaux non résidents.
PNB = PIIB + Solde des transferts extérieurs
Les organismes internationaux prennent le PNB par habitant comme principal critère pour juger l’évolution économique d’un pays. Les plus élevés PNB par habitant sont européens (Luxembourg, Monaco, la Suisse, les pays scandinaves, …). Les plus faibles sont en Afrique, pour certains pays le PNB par habitant est inférieur à 500 $.
Ainsi ces organismes classent les pays du monde de la façon suivante :
_ Les PPP (Pays Producteurs du Pétrole) : PNB/habitant généralement supérieur à 20.000 $.
_ Les Pays Développés : pays industrialisés à fort PNB/habitant (généralement supérieur à 30.000 $.
_ Les NPI (Nouveaux Pays Industrialisés) : PNB/habitant supérieur à 10.000 $.
_ Le PRI (Pays à Revenus Intermédiaires) :
* Première tranche : PNB/habitant aux alentours de 50.000 $.
* Deuxième tranche : PNB/habitant aux alentours de 2.000 $ (le Maroc en fait partie).
_ Les PMA (Pays Moins Avancés) : PNB par habitant aux alentours de 700 $.
Un résident est une personne physique ou morale qui réside régulièrement sur le territoire national quelque soit sa nationalité.
PIIB = PIIB marchand (.Valeurs ajoutées des entreprises) + Valeur ajoutée de l’’Etat (Salaires publics)
C’est par l’évolution du PIB d’une année à l’autre que l’on calcule le taux de croissance
Economique : Il s’agit d’une croissance en valeur (en terme monétaire, ou au prix courant). Elle ne nous renseigne pas sur l’évolution réelle des quantités produites. Pour déterminer la croissance en volume (en terme réel ou au prix constant) on doit retrancher des 10%, la partie qui s’explique par la hausse des prix.
Le PNB est la valeur monétaire des biens et services réalisés par les nationaux quelque soit le lieu de leur résidence. En fait le PNB est égale au PIB diminué des transferts vers l’extérieur opérés par les résidents étrangers et augmenté des transferts de l’extérieur vers le pays opérés par les nationaux non résidents.
PNB = PIIB + Solde des transferts extérieurs
Les organismes internationaux prennent le PNB par habitant comme principal critère pour juger l’évolution économique d’un pays. Les plus élevés PNB par habitant sont européens (Luxembourg, Monaco, la Suisse, les pays scandinaves, …). Les plus faibles sont en Afrique, pour certains pays le PNB par habitant est inférieur à 500 $.
Ainsi ces organismes classent les pays du monde de la façon suivante :
_ Les PPP (Pays Producteurs du Pétrole) : PNB/habitant généralement supérieur à 20.000 $.
_ Les Pays Développés : pays industrialisés à fort PNB/habitant (généralement supérieur à 30.000 $.
_ Les NPI (Nouveaux Pays Industrialisés) : PNB/habitant supérieur à 10.000 $.
_ Le PRI (Pays à Revenus Intermédiaires) :
* Première tranche : PNB/habitant aux alentours de 50.000 $.
* Deuxième tranche : PNB/habitant aux alentours de 2.000 $ (le Maroc en fait partie).
_ Les PMA (Pays Moins Avancés) : PNB par habitant aux alentours de 700 $.
vendredi 12 mars 2010
entreprise individuelle
Une entreprise individuelle est une entreprise qui n'a qu'un seul dirigeant et surtout, qui n'a pas de personnalité morale, bien qu'elle soit inscrite au répertoire des métiers ou au registre du commerce et des sociétés. Ce n'est pas une société (à la différence de l'EURL, de la SARL ou de la SASU). Il n'y a juridiquement et fiscalement pas de séparation entre le patrimoine de l'entreprise individuelle et celui de l’entrepreneur lui-même (on parle d’entrepreneur individuel).
En 2009, 75 % des créateurs d'entreprise ont choisi d'exercer leur activité en entreprise individuelle dont 75 % sous le régime de l'auto-entreprise.
Cette forme juridique est à conseiller lorsque les risques de l'activité sont peu importants et les investissements limités.
L'entrepreneur est indéfiniment responsable des dettes professionnelles sur l'ensemble de son patrimoine personnel. Le choix du régime matrimonial peut donc s'avérer important.
L'entreprise individuelle se caractérise par sa simplicité de constitution. L'entrepreneur déclare son entreprise auprès de la chambre de commerce ou d'industrie ou de la chambre de métiers et de l'artisanat selon que son activité est commerciale ou artisanale, ou effectue une déclaration à l'Urssaf lorsque l'activité envisagée est libérale.
Principaux avantages
Simplicité de constitution.
Simplicité de fonctionnement, liberté d'action du chef d'entreprise.
Principaux inconvénients
Responsabilité totale et indéfinie (possibilité de protéger ses biens fonciers bâtis ou non bâtis des poursuites de créanciers, dès lors qu'ils ne sont pas affectés à son activité professionnelle).
Système d'imposition (impôt sur le revenu) limitant les capacités d'autofinancement de l'entreprise en développement.
En 2009, 75 % des créateurs d'entreprise ont choisi d'exercer leur activité en entreprise individuelle dont 75 % sous le régime de l'auto-entreprise.
Cette forme juridique est à conseiller lorsque les risques de l'activité sont peu importants et les investissements limités.
L'entrepreneur est indéfiniment responsable des dettes professionnelles sur l'ensemble de son patrimoine personnel. Le choix du régime matrimonial peut donc s'avérer important.
L'entreprise individuelle se caractérise par sa simplicité de constitution. L'entrepreneur déclare son entreprise auprès de la chambre de commerce ou d'industrie ou de la chambre de métiers et de l'artisanat selon que son activité est commerciale ou artisanale, ou effectue une déclaration à l'Urssaf lorsque l'activité envisagée est libérale.
Principaux avantages
Simplicité de constitution.
Simplicité de fonctionnement, liberté d'action du chef d'entreprise.
Principaux inconvénients
Responsabilité totale et indéfinie (possibilité de protéger ses biens fonciers bâtis ou non bâtis des poursuites de créanciers, dès lors qu'ils ne sont pas affectés à son activité professionnelle).
Système d'imposition (impôt sur le revenu) limitant les capacités d'autofinancement de l'entreprise en développement.
vendredi 5 mars 2010
L’étude de marché
L’étude de marché est une opération capitale pour le marketing. Elle permet de connaître l’environnement de travail du marketing.
Connaître un marché, c’est analyser les différentes opérations qui le caractérisent et cela à travers 4 questions, qui sont les 4 « O » :
- Objet d’achat.
- Objectif d’achat.
- Organisation d’achat.
- Opération de l’organisation d’achat.
1 – Qu’est-ce que l’étude de marché ?
L’objectif fondamental de l’étude de marché est de limiter les risques dans la prise de décision.
Elle utilise toutes les techniques : statistiques, économie, juridiques, sociologie…
Elle dresse un tableau exhaustif d’une situation.
Elle reflète l’état de la démarche, de l’offre concurrentielle.
Elle aboutit à un programme opérationnel avec des actions à mener.
Elle concerne tous les secteurs.
Elle peut être globale et s’intéresser à une activité macro-économique.
Elle peut être plus spécifique et s’intéresser à une opération limitée (étude de l’impact d’un produit).
L’étude de marché est désormais un instrument indispensable pour le responsable marketing qui ne peut agir sans connaître tous les paramètres qui animent le marché.
Connaître un marché, c’est analyser les différentes opérations qui le caractérisent et cela à travers 4 questions, qui sont les 4 « O » :
- Objet d’achat.
- Objectif d’achat.
- Organisation d’achat.
- Opération de l’organisation d’achat.
1 – Qu’est-ce que l’étude de marché ?
L’objectif fondamental de l’étude de marché est de limiter les risques dans la prise de décision.
Elle utilise toutes les techniques : statistiques, économie, juridiques, sociologie…
Elle dresse un tableau exhaustif d’une situation.
Elle reflète l’état de la démarche, de l’offre concurrentielle.
Elle aboutit à un programme opérationnel avec des actions à mener.
Elle concerne tous les secteurs.
Elle peut être globale et s’intéresser à une activité macro-économique.
Elle peut être plus spécifique et s’intéresser à une opération limitée (étude de l’impact d’un produit).
L’étude de marché est désormais un instrument indispensable pour le responsable marketing qui ne peut agir sans connaître tous les paramètres qui animent le marché.
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